Les rayons du soleil réchauffaient la surface de la piscine municipale lorsqu’elle leva les yeux vers lui. Le maître-nageur, un homme aux épaules larges et à la silhouette athlétique, ajustait son brassard bleu marine avec une nonchalance étudiée. Ses iris noirs plongèrent dans les siens, accentuant l’effet des cernes sombres qui soulignaient sa beauté mature. Sa poitrine rebondie, encadrée par le string minimal de son bikini, se pressait contre sa peau halée chaque fois qu’elle respirait profondément pour masquer la chaleur naissante dans ses reins.
« Vous respirez trop fort vers l’avant. » Il s’agenouilla à côté d’elle sans la quitter du regard, son pouce glissant le long de son sternum jusqu’à sa bouche humide. Lorsqu’il lui enserra les hanches pour l’aider à stabiliser ses mouvements dans l’eau, son toucher était une promesse silencieuse. Les doigts de la femme se crispèrent sur l’arête de béton froide en sentant son sexe dur et gonflé frotter contre sa jambe lorsqu’il se leva pour s’éloigner – une réaction aussi involontaire qu’un éclair.
Elle avait oublié à quel point les muscles des hommes sportifs étaient durs sous les paumes. Lorsque ses seins grosses firent rouler contre la poitrine de son partenaire, il grogna et serra les dents. Ses lèvres entrouvertes se refermèrent sur son clitoris humide, le suçant comme un fruit mûr tandis qu’il introduisait un doigt dans sa chatte rasée pour la dilater. La femme gémit en sentant ses ongles griffer ses épaules à l’approche de l’orgasme – un orgasme qui ne fut que la première vague de plusieurs, comme il le savait déjà.
Leur cabine de douche improvisée sentait le chlore et le désir. Ses fesses écartées sous son nez, il se pencha pour lécher sa chatte avant de pousser un doigt dans son cul, jouissant du contraste entre la chaleur humide de son vagin et la résistance rugueuse des muscles de son anus. La femme ondula ses fesses contre son visage à travers l’étoffe trempée de son short en plastique transparent.
« Encore… plus fort ! » Elle se cambra en sentant sa langue s’enfoncer profondément dans son cul, la sensation d’étirement et de chaleur si proche du malaise que ses orteils frétillèrent. Son maître-nageur rit sans rire et attrapa son coude pour l’immobiliser, son doigt tapissant le fond de sa chatte pendant qu’il lui arrachait un grognement en suçant son clitoris.
Lorsque ses lèvres se refermèrent sur son sexe dur comme la pierre, il gémit. « Encore… encore ! » Il haletait, les mains serrées dans ses cheveux noirs éparse. La femme leva un pied pour enserrer sa cuisse tandis qu’elle aspirait son gland entre ses lèvres pulpeuses, son sexe dur et gonflé glissant sans fin entre ses joues huileuses. Son doigt se pressa à travers la toile de son short pour agripper ses testicules pendant que ses dents s’enfonçaient dans sa chair.
Il lui enfonça un doigt dans le cul, et elle geignit. « Plus fort ! Je veux… » Sa voix se brisa lorsque la femme recracha son sexe pour l’embrasser à pleine bouche pendant qu’il s’enfonçait de nouveau au fond de sa gorge. Ses yeux noirs roulèrent en arrière tandis que ses fesses claquaient contre le béton des cabines, et il lui arracha un grognement en introduisant une deuxième phalange dans son cul.
« Encore… plus ! Plus fort ! Je veux ta bite dans ma chatte ! » Les deux hommes se jetèrent l’un sur l’autre dans la cabine obscure, leurs corps nus et humides heurtaient les murs en béton. Son sexe dur comme le fer s’enfonça d’un coup entre ses fesses écartées – et elle cria de douleur.
La femme gémit brutalement quand il recula son bassin pour enfoncer son gland dans sa chatte, et la pression des doigts de son maître-nageur serra ses seins grosses. « Encore… encore ! Je veux ta bite dans mon cul aussi… je veux que vous me baisiez comme un chien !
