La lumière tamisée de la cave à vin jouait avec les reflets cuivrés des bouteilles alignées contre le mur. Céline, une femme mariée aux gros seins fermes sous sa robe moulante, avait échappé au regard vigilant de son mari pour y chercher un peu de réconfort. La porte grinça soudainement : un jeune dentiste aux traits juvéniles et à l’air perplexe s’immobilisa sur le seuil. Leurs regards se croisèrent dans une tension électrique, tandis qu’une bouteille de vin rouge roulait lentement vers son pied.
Il murmura des excuses pour son intrusion, mais ses doigts jouaient nerveusement avec un verre abandonné sur le sol poli. Céline sentit sa peau s’embraser sous son regard insistant et se rapprocha pour l’aider à ramasser l’objet. Leurs mains se frôlèrent, et une étincelle parcourut ses nerfs comme un éclair. La voix du dentiste, chaude et grave, s’anima tandis qu’il proposait de goûter un des crus anciens, ses doigts effleurant son coude avec une insouciance calculée.
Sans prévenir, il se pencha vers sa bouche pour goûter le vin, et ses lèvres frôlèrent les siennes. Céline sentit son souffle chaude et sucré contre sa joue alors qu’il avalait une gorgée, puis recula avec un murmure de satisfaction. « Extraordinaire… Le fruit d’une patience de plusieurs années », dit-il en la fixant avec une intensité presque impolie.
Un silence lourd s’installa, rompu par le claquement sec des bouteilles dans un rayonnage. Céline sentit son désir grandir, et son côlon se contracter d’impatience alors que ses seins semblaient gonflés par une tension presque douloureuse. Sans raison, elle rit de sa propre audace lorsqu’elle s’écria : « Vous devriez goûter à mes années… elles sont tout aussi exquises. » Les yeux du dentiste s’élargirent un instant, puis il la prit par les hanches et pressa ses lèvres contre son cou.
Elle se mordit la lèvre inférieure pour étouffer un gémissement tandis que ses dents la taquinaient. Ses doigts agiles glissèrent vers sa hanche, et elle sentit une pression ferme appuyer contre son intimité. « T’es sûre de vouloir ça ? » demanda-t-il avec un rire rauque. Elle hocha la tête vigoureusement, se tortillant sous ses mains qui remontèrent vers le galbe de sa poitrine.
Un grognement s’échappa de sa gorge quand il déboutonna son chemisier et se mit à caresser son mamelon. Céline gémit, la pression des doigts se transformant en un mouvement circulaire qui lui arracha un soupir. « Plus fort… », murmura-t-elle. Sans hésitation, il s’agenouilla et attrapa sa culotte pour l’en débarrasser.
« Putain… », grimaça-t-il en voyant la vulve entièrement rasée de Céline étinceler sous les faisceaux de lumière. « Je vais te faire gémir comme jamais une salope mariée l’a fait avant. » Il se pencha vers sa chatte et introduisit un doigt pour explorer ses plis humides, lui arrachant un cri aigu qui résonna dans la cave.
Céline sentait son sperme couler entre ses cuisses tandis qu’elle regardait son sexe dur et gonflé s’enfoncer en elle. « Encore… », geignit-elle, le suppliant de poursuivre. Il se retira lentement avant de la pénétrer à nouveau avec une force étonnante qui lui arracha un rugissement bestial.
La douleur se mua en plaisir quand il plongea son doigt dans sienne cul, et Céline cria comme jamais. « Oh Dieu… putain ! », s’écria-t-elle, le regard écarquillé de surprise et d’extase. Ses cris se mêlaient aux sons de leurs corps se heurtant dans un rythme frénétique.
Ses seins rebondissaient sous chaque impact alors qu’il accélérait ses coups, son ventre ruisselant de sueur. « Je vais te baiser… », grogna-t-il entre deux halètements, et il se rapprocha pour l’embrasser avec une passion féroce qui résonnait dans sa gorge.
Le dentiste lui arracha la culotte de ses dents et se mit à manger son sexe. « Putain… », rugit-il entre les gémissements étranglés de Céline, qui se cambrait sous l’intensité des sensations. Son clitoris était massé par sa langue, ses cuisses ouvertes et retenues par des mains expertes.
« Encore… », cria-t-elle en sentant un deuxième doigt pénétrer son cul, et elle se laissa tomber vers l’avant. « Oh merde ! Putain de putain ! » rugit-il entre deux halètements. Le rythme s’intensifia jusqu’à ce qu’elle éclate en une explosion de jouissance qui résonna dans les murs.
