La lumière tamisée de l’atelier flottait sur ses seins lourds, un éclat de dentelle mordant la chair ferme. Marie s’étira lentement, ses doigts glissant sous sa chemise de travail en coton, laissant apparaître des tétons déjà gonflés par le désir. Le chauffagiste avait refusé son offre d’un café glacé, prétextant un rendez-vous urgent dans les escaliers du bâtiment voisin. Ses épaules carrées s’étaient reculées contre le mur, son sexe dur et gonflé palpiter à travers son jean, tandis qu’il plongeait son regard dans sa chatte rasée.
« Je dois vérifier le tuyau de chauffage… » avait-il marmonné, ses paumes rugueuses écartant les fesses rebondies. L’odeur musquée de son propre désir l’enveloppa alors que sa langue léchait une goutte d’eau perlant sur la joue de l’homme. Elle s’était agenouillée, ses seins ployant vers le sol tandis qu’elle lui mordillait les doigts, suçotant chaque phalange avant de les plonger dans son cul humide. Un gémissement échappa à ses lèvres alors que sa chatte se contractait autour du premier doigt.
« Putain… » grogna le chauffagiste en la maintenant par les hanches, ses ongles s’enfonçant dans sa chair tandis qu’il pratiquait une fellation avec son sexe, ses paupières clignotant sous l’intensité de leur échange. Son souffle haleté se mêla au grincement du tuyau qui craquela soudain sous leurs caresses désordonnées. « Tu es en train de me baiser ou de réparer mon chauffage ? » rugit-il, son sexe dur et gonflé se dressant comme un éclair entre ses cuisses. Elle rit en le hissant à quatre pattes, sa chatte offerte sous la lumière crue de la lampe.
Le plongeon de son gland dans son cul humide fut brutal mais savoureux, Marie gémissant contre l’acier froid de la valve qu’elle tenait entre ses doigts. « Vas-y… » chuchota-t-elle, sa chatte se serrant à chaque coup de reins tandis que les gouttes de sueur glissaient sur le rebord de son string, disparaissant dans une faille noire et luisante. Son bassin se souleva pour rencontrer ses hanches, leurs sexes fusionnant en un rythme violent qui pulvérisait tout espoir de discrétion.
« Regarde ta chatte ! » hurla-t-il, son sperme brûlant jaillissant à travers ses doigts crispés sur son cul. La MILF se cambra, son sexe dur et gonflé frissonnant sous ses ongles qui s’agrippèrent à sa gorge pour empêcher le gémissement de monter dans sa voix. L’odeur de chair cuite flotta un instant entre eux avant que la lame d’un tournevis ne vienne se loger au creux de son ventre.
« Tu aimes ça ? » La question s’échappa en un murmure rauque, ses lèvres effleurant le trou noir et humide. Sa langue plongea dans son cul, sa bouche avalant l’air chaud qui s’en échappait. Marie gisait entre les cuisses de son amant, son bassin se tendant vers lui comme une proie à la merci d’une bête sauvage.
« Oh Dieu… » gémit-elle en sentant un second doigt pénétrer dans son cul. Les mouvements du chauffagiste s’accélérèrent, ses paumes rugueuses agrippées à ses hanches tandis qu’il plongeait vers le lit de chair tiède et gluante. « Je veux que tu me prennes… » supplia-t-elle entre deux halètements.
« Non… » répondit-il, son sexe dur et gonflé se pressant contre ses lèvres humides. « J’ai besoin de te voir… » Il la fit se retourner d’un violent coup de reins, sa chatte exposée à son regard émeraude. Marie gisait là sous lui, son bassin offert tandis qu’il entrait et sortait de son cul avec une lenteur exaspérante.
« Vas-y ! » cria-t-elle soudain, son sexe dur et gonflé pulsant à travers ses ongles crispés sur son épaule. Le chauffagiste se releva brusquement pour lui plonger dans le cul avec une violence inouïe, la femme de son ami hurlant sous les coups de reins qui pulvérisaient son espoir de discrétion.
« Jouis… » murmura-t-elle en sentant un premier orgasme se propager à travers sa chatte. Son sexe dur et gonflé s’enfonça dans le trou noir, une vague chaude balayant ses jambes et ses bras tandis qu’elle tentait de retenir son sperme.
« Vas-y… » grogna-t-il entre les cris étouffés de la femme infidèle. « Je te veux dans ta chatte ! » L’orgasme se propagea à travers sa colonne vertébrale, une boule brûlante se formant au fond de son ventre avant d’éclater en un geyser qui pulvérisa la jouissance de leur corps.
« Plus fort ! » supplia Marie entre ses ongles qui s’enfonçaient dans son cuir chevelu. Son sexe dur et gonflé se pressait contre sa chatte, son sperme jaillissant à travers les plis humides et luisants de sa chair.
